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L’E-COUPONING : LE GENERATEUR DE TRAFIC !
Une fois le référencement du site Internet d’une activité entamé avec achats de mots clé Google, emailing et newsletter, une manière originale de générer du trafic est d’utiliser le E-couponing !
Le E-couponing propose des coupons de réduction pour faire venir le client en boutique. Il est moins coûteux qu’un bon de réduction traditionnel puisque virtuel et il permet de savoir d’où viennent les clients grâce aux codes opération.
Etapes de la mise en place d’une stratégie E-couponing :
Définition de l’offre
Il s’agit de chercher le but proposé par le coupon. S’agit-il d’une réduction de prix pour les nouveaux clients (attirer les clients) ? D’un cadeau pour les personnes déjà clientes (fidéliser les clients) ? Ou d’une promotion spéciale nouvelle collection, soldes d’été ou d’hiver, etc. ?Il convient également de calculer le coût de l’opération… attention aux fausses surprises !
Réalisation du E-coupon
Il s’agit de mentionner l’offre dans son intégralité, la validité du E-coupon, etc. Pour un E-coupon avec un graphisme personnalisé, il est possible de faire appel à une agence.Diffusion du E-coupon
La diffusion du E-coupon peut se faire par différentes possibilités :- sur son site web
- via une newsletter ou un emailing
- via des médias publicitaires : Google Adwords, bannières,…
- via d’autres sites web : site de la ville,…
Suivi des ventes générées
Il s’agit de prendre en compte la gestion de l’opération en enregistrant en caisse les passages de codes-barres des E-coupons et en analysant les résultats. Y-a-t ’il eu une augmentation des ventes, impact sur le chiffre d’affaire, augmentation du nombre de nouveaux clients, etc.L’opération d’E-couponing doit permettre de générer du trafic et d’augmenter les ventes. Il convient de savoir s’il est intéressant de renouveler l’opération et de voir si le nombre de nouveaux clients est réellement conséquent ou s’il ne s’agit pas de clients habituels qui ont utilisé les coupons, auquel cas, l’entreprise n’aura pas gagné d’argent sur cette opération.
APPLICATIONS MOBILES ET ENTREPRISES : UN SUCCES FLAMBOYANT
Avec l’évolution du nombre de salariés équipés de Smartphones et de tablettes tactiles (50% des ventes de téléphones portables dans les entreprises sont des Smartphones en 2011), les directions se voient obligées de développer des applications mobiles professionnelles.
Basiques mais utiles, ces applications mobiles permettent de gérer contacts, emails, de communiquer et même de gérer les stocks, la chaîne d’approvisionnement, les commandes et les points de vente. Internet mobile et applications verticales sont devenus une manière rapide et simple d’augmenter rapidement la productivité d’une entreprise.
Hébergées sur les plateformes RIM OS (Blackberry), iPhone OS (83% des applications), Android (12%), Windows Phone ou Samsung Bada, elles sont de plus en plus nombreuses à servir les demandes de géolocalisation ou de réalité augmentée ou de vitrine qui servent de relais d’information.
Des applications qui concernent tous les secteurs
Mais les applications les plus prospères sont celles liées à la finance et à la santé. En effet, les professionnels de la santé espèrent, à terme, pouvoir accéder aux dossiers médicaux de leurs patients via leur Smartphone. Une application destinée aux diabétiques, DBTmobile, a ainsi vu le jour, afin de suivre à distance les taux de glycémie des patients en temps réel. iSommeil, une autre application disponible sous iPhone OS et Android, permet de détecter insomnies et états de somnolence du patient. En finance, les banques mettent en place des applications pour que leurs clients puissent consulter leurs comptes bancaires depuis leurs Smartphones ainsi que les aides à la vente de produits voire obtenir des pré-autorisations de crédits. Les applications mobiles servent également dans le secteur des transports et des services où les demandes des clients d’un chauffeur de taxi, par exemple, peuvent être reçues et confirmées.
Windows Mobile : la plateforme idéale pour les applications verticales
L’iPhone n’a pas réellement su séduire les entreprises en développant des applications verticales métiers à cause de l’environnement trop fermé d’Apple. Il est en effet impossible de développer et installer une application iPhone sans l’accord d’Apple, ce qui donne un avantage à Windows Mobile. Andoid de Google attire également les développeurs d’applications verticales par son potentiel. Enfin, Blackberry OS de RIM a su faire sa place dans le monde professionnel avec une plateforme collaborative bien intégrée au SI, stable et très sécurisée ainsi que des APIs, malgré qu’elle soit encore une plateforme très fermée.
